"D'où me vient l'impression que les tableaux de Djilali KADID
semblent dire plus qu'ils ne représentent ? De la pénombre, du clair-obscur qui les baignent ?
De l'épaisseur de la pâte, de la sensualité des couleurs ?
De la présence à la fois sereine et tragique des personnages, de leur densité à la Rouault ?
Je ne sais, mais ce dont je suis sûr en revanche, c'est que Djilali opère et travaille avec la mémoire et l'intime connaissance de la plus haute peinture.
Jean Pélégri